Le Premier Cercle                     window.addEvent('domready', function(){ if($('ul-list')){ var ul = $('list-mini').getCoordinates(); var minUl=ul['left']; var maxUl=ul['left']+920; var limit=0; var nbLi=0; var li = $('ul-list').getElements('li').each(function(li){ var li = li.getCoordinates(); nbLi++; if (li['right'] > limit) limit = li['right']; }); var slider=$('list-mini'); slider.set('events', { 'scroll': function(e){ var delta; var value=0; var tween = $('ul-list').get('tween', {'property': 'left', 'duration':'750'}); var div = $('list-mini').getCoordinates(); var li = $('list-mini').getElements('li')[nbLi-1].getCoordinates(); page = this.retrieve('page'); var ul = $('ul-list').getPosition(); var area = div['width'] / 2, velocity = -0.1; if (page['x'] < (div['left'] + area) && this.retrieve('mouseover')){ if(ul['x'] (div['left'] + div['width'] - area) && this.retrieve('mouseover')){ if(li['right']>div['right']){ delta = (page['x'] - div['left'] - div['width'] + area) * velocity; value = (ul['x'] - div['left'] + delta);//.limit(0,limit); tween.set(value); }else{ tween.set('tween', {'right' : (div['right']-25)}); } }else{ /*delta=0; value = (ul['x'] - div['left'] + delta);//.limit(limit, 0);*/ //e.stop(); } } }); var mousemove = function(e){ //slider.store('mouseover', true); //console.log(slider.retrieve('mouseover')); var div = $('list-mini').getCoordinates(); if( e.page.x > div['left'] && e.page.x < (div['right']) && e.page.y > div['top'] && e.page.y < div['bottom']){ slider.store('page', e.page); if (!slider.retrieve('mouseover')){ slider.store('mouseover', true); slider.store('timer', function(){ slider.fireEvent('scroll'); }.delay(50, this)); }else{ slider.store('timer', function(){ slider.fireEvent('scroll'); }.delay(50, this)); } }else{ slider.store('mouseover', false); $clear(slider.retrieve('timer')); } //console.log(slider.retrieve('mouseover')); }.bind(slider); $('list-mini').addEvent('mousemove', mousemove); //$('list-mini').addEvent('mouseenter', mousemove); //$('list-mini').addEvent('mouseover', mousemove); } //------------------------------------------------------ function ScanCookie(variable) { cook = document.cookie; variable += "="; place = cook.indexOf(variable,0); if (place <= -1) return("0"); else { end = cook.indexOf(";",place) if (end <= -1) return(unescape(cook.substring(place+variable.length,cook.length))); else return(unescape(cook.substring(place+variable.length,end))); } } function CreationCookie(nom,valeur,permanent) { if(permanent) { dateExp = new Date(2020,11,11); dateExp = dateExp.toGMTString(); ifpermanent = '; expires=' + dateExp + ';'; } else ifpermanent = ''; document.cookie = nom + '=' + escape(valeur) + ifpermanent; } });   #overlay { background:#000; opacity:.2; filter:Alpha(Opacity=50); } /* Style de l'overlay */ #interstitiel { display:none; } /* Style de l'élément à afficher lorsque l'overlay est inactif */ #interstitiel.overlay { background:#FFF; padding:10px; text-align:center; width:800px; } /* Style de l'élément à afficher lorsque l'overlay est actif */             UGC Distribution   Aller au contenu Aller au menu Aller à la recherche   Accueil Vidéos Jeux concours Newsletter Fil news Calendrier Catalogue              Le Premier Cercle Un film de Laurent Tuel. Avec Jean Reno, Gaspard Ulliel, Vahina Giocante et Sami Bouajila. Sortie le 4 mars 2009.   Le site du film : Le Premier Cercle     Thriller     Synopsis :   Pour Milo Malakian, « le Premier Cercle » c'est sa famille, ses racines, c'est ce qu'on ne transgresse pas, là où l'on est sûr des siens. Milo est prêt à passer les rênes du clan à son héritier direct, le seul fils qui lui reste : Anton. Mais celui-ci aspire à une autre vie. La relation secrète qu'il vit avec Elodie lui a ouvert les yeux sur le monde violent et sans issue de son père. Il doit sortir de ce cercle... 

     Galerie photos Cliquez sur une image pour l'agrandir                                                                                                          Autour du film Entretien avec Laurent Tuel  Qu’est-ce qui vous a donné envie d’écrire LE PREMIER CERCLE ?  Je fais des films à partir de ce que je connais : les relations humaines. Mon plaisir de cinéaste-cinéphile est de les inscrire à l’intérieur de genres très éclectiques : l’humour très noir avec LE ROCHER D’ACAPULCO, le fantastique avec UN JEU D’ENFANTS, la comédie avec JEAN-PHILIPPE... Pour LE PREMIER CERCLE, j’ai voulu développer cette thématique dans le contexte du thriller, et me lancer dans un exercice formel afin d’exacerber les enjeux de cette histoire où un jeune homme cherche à s’émanciper de la tutelle de son père.   Pourquoi un thriller ?  Parce que c’est un genre où les sentiments peuvent s’exprimer de façon très violente. On se sépare rarement de sa famille dans le calme : dans mon film, ce ne sont pas les portes qui claquent, mais les coups de pistolet. Et au lieu de la partie de pêche, de la ballade en forêt ou du repas qui favorise le dialogue ou la prise de conscience, c’est un cambriolage qui permet à un père et à son fils de faire le point sur l’état de délabrement de leurs rapports. Comme dans mes autres films, ce qui compte pour moi, c’est de porter un regard sans jugement ni intentions moralisatrices sur mes personnages. Jean Renoir disait : “Chacun a ses raisons.” À moi de montrer lesquelles.   L’intrigue se situe dans une famille arménienne. Pourquoi ?  Il me semblait intéressant de situer cette histoire dans le cadre d’une communauté que je ne connaissais pas et qui, par conséquent, m’intéressait en tant que scénariste. Un monde clos, quasi autarcique, qui se replie sur lui-même pour mieux se protéger. Je suis moi-même issu d’une diaspora italienne arrivée ici après la guerre, et elle s’est greffée grâce à un réseau social aussi solidaire que structuré. Pour LE PREMIER CERCLE, j’aurais tout aussi bien pu choisir la communauté chinoise. Mais d’un point de vue dramatique, je trouvais plus excitant de situer l’intrigue dans un contexte moins familier, plus secret.   Vous ne craignez pas de la stigmatiser ?  Dans mon esprit, il n’a jamais été question de pointer du doigt les Arméniens de France. Les personnages du film ne sont en rien représentatifs d’un ensemble, et le film ne se veut pas une étude réaliste. Je le répète, il s’agit avant tout pour moi d’un outil narratif. Une grande partie du scénario repose d’ailleurs sur la manière dont le “chef de gang”, Jean Reno, se sert du passé tragique de son peuple pour manipuler les autres, asseoir son pouvoir et exercer sa domination, notamment sur son fils qui veut quitter le clan. Le film s’ouvre sur des archives historiques très douloureuses qui semblent mettre en perspective le génocide arménien et la famille Malakian... Si vous écoutez attentivement la voix off qui les accompagne, il est bien précisé que Milo fait le choix d’une vie criminelle, contrairement à l’écrasante majorité de ses compatriotes qui ont pris le chemin de l’intégration. Comme dans tout groupe humain, celui du PREMIER CERCLE comporte ses moutons noirs, et il n’y a aucune ambiguïté à ce sujet : le personnage de Jean Reno est un renégat qui se sert de la violence, de l’intimidation et du chantage tant mémoriel qu’affectif pour parvenir à ses fins. Dans ce sens, on peut dire que le prologue constitue la vision de l’Histoire subjective et déformée de Milo Malakian, ce qui ne l’empêche pas d’être totalement sincère dans son comportement, aussi condamnable soit-il.

  

 Comment avez-vous intégré les scènes d’action dans l’histoire ?  En fonction de ce qu’elles apportaient à la définition et à l’évolution des personnages. Le vol de voiture qui ouvre le film montre d’emblée que Anton, le fils de Milo Malakian, recourt davantage à son intelligence et à sa maîtrise qu’à la violence ; le cambriolage de la villa propulse Anton dans l’univers sans pitié de son père et lui fait comprendre que ce monde-là n’est pas le sien ; l’agression de Milo contre le flic qui le traque expose pour la première fois les failles d’un homme guidé jusque-là par l’obsession du contrôle et la domination qu’il exerce sur ses émotions ; et l’assaut contre l’avion réunit en un épilogue opératique où convergent tous les ingrédients de la tragédie, jusqu’à sa résolution logique.   Quelle a été votre principale ambition en réalisant Le Premier cercle ?  Proposer un spectacle populaire à l’intérieur duquel j’ai tenté de convoquer tout l’éclectisme de ma passion pour le cinéma, d’aller à contre-courant de ce que le public peut attendre d’un film “de genre” et de capter l’attention des spectateurs avec une histoire dont les enjeux, aux résonances universelles, peuvent les concerner intimement.  Entretien avec Jean Reno  Qui est Milo Malakian ?  C’est d’abord un exilé, un homme qui a quitté sa terre, qui le regrette, et qui a recréé un monde en autarcie du côté noir de la “Force”.   Pourquoi est-il devenu un truand ?  Peut-être que l’époque ne lui convenait pas, et que l’illégalité a été pour lui le seul moyen de retrouver les valeurs dont son déracinement l’a privé : la discipline que son père lui avait apprise, la vision de la famille comme un clan, comme une tribu.   Le film s’ouvre sur des archives qui évoquent le génocide du peuple arménien. En quoi votre personnage ressent-il les répercussions de cette tragédie ?  Je suis très ami avec Levon Sayan, le manager de Charles Aznavour. Il m’a beaucoup parlé du parcours de sa famille et de celle d’Aznavour, durement frappées par le génocide, et c’est en grande partie pour l’honorer que j’ai accepté de jouer dans LE PREMIER CERCLE. Pour en revenir à Milo Malakian, arraché à son pays, il est incapable de ce faire à ce nouveau monde, il sait qu’il rate la fin de sa vie d’homme, et sa violence de bandit tout-puissant est peu à peu devenue sa seule raison d’être.   Milo est-il un salaud ou un monstre ?  L’absence de femme dans sa vie lui interdit toute espèce d’équilibre. Il dort seul, il n’a personne à qui offrir sa tendresse, son coeur s’est peu à peu nécrosé, son humanité s’est elle aussi atrophiée... Dans ce sens, je dirais qu’il est effectivement un monstre, ce que deviennent d’ailleurs plus ou moins tous les hommes sans amour. Faute d’une vraie famille, il s’est constitué une meute dont il s’est intronisé le chef.   Est-ce pour cette raison qu’il se montre aussi dur avec son fils Anton que joue Gaspard Ulliel ?  Bien sûr. Le fait que ce garçon n’ait pas de mère joue un rôle essentiel.   En quoi Le Premier cercle est-il différent des autres films policiers que vous avez tournés ?  En ce que, justement, ce n’est pas seulement un film policier, mais aussi, voire surtout, une tragédie : celle d’un père, d’un fils, d’une mère absente, et d’une jeune femme dont l’amour pourrait arracher au patriarche l’unique bien qu’il possède, à savoir son enfant. Le scénario se situe chez les malfrats arméniens, mais ce n’est qu’un déguisement : c’est une histoire aux enjeux universels qu’on pourrait tout autant transposer chez des pêcheurs grecs. Le rôle de Milo Malakian vous permet de montrer des aspects inédits de votre registre... Milo est absolument implacable dans son rapport à l’ordre et au pouvoir, et quand j’ai vu le film, je me suis fait peur. Jusque-là, je ne me serais jamais cru capable d’exprimer autant de violence, de menace et de cruauté.   Vous êtes aussi très émouvant, ce qui est une nouveauté...  Ce n’est pas faux, du moins en France, car j’avais déjà abordé l’émotion avec Roberto Benigni dans LE TIGRE ET LA NEIGE. Mais dans notre pays, vous avez raison, on ne m’avait encore jamais demandé d’incarner un être humain dans ce qu’il a de plus friable.   C’est également votre premier rôle de père...  Il était temps ! Et bientôt, j’interpréterai un grand père ! Plaisanterie mise à part, je ne sais pas si les films entrent par hasard dans la vie d’un acteur ou bien si c’est ce qu’on est soi-même et ce qu’on dégage qui finit par donner envie aux metteurs en scène de vous confier tel ou tel emploi. Il se trouve que j’ai un fils d’à peu près le même âge qu’Anton, et ça a sans doute compté. Mais je vous rassure : je n’ai pas avec lui les rapports que Milo Malakian entretient avec le sien, Dieu merci.   Certes, mais à travers la relation père/fils du PREMIER CERCLE, avez-vous d’une certaine façon voulu lui envoyer un message ?  Non. Je suis beaucoup plus permissif que Milo, je n’ai aucune mainmise sur sa vie, et j’ai totalement confiance en lui. En revanche, si certains pères excessivement autoritaires se reconnaissent dans mon personnage et que la vision du film les incite à repenser leur attitude vis-à-vis de leurs propres fils, ce serait un miracle dont je serais particulièrement fier.

 Filmographie  Laurent Tuel 2007 LE PREMIER CERCLE Thelma Films Alter Films 2005 JEAN-PHILIPPE Fidélité Films Bankable Films 2001 UN JEU D'ENFANTS Fidélité Films 1995 LE ROCHER D'ACAPULCO / Elison HILBILLY CHAINSOW MASSACRE (c.m.) 1992 LE JOUR DE CHANCE DU GROS PHIL (c.m.)   Jean Reno

   

 2009 ARMORED de Nimrod Antal COUPLES RETREAT de Peter Billingsley L’IMMORTEL de Richard Berry MARGARET de Kenneth Lonergan 2008 CASH de Éric Besnard LA PANTHÈRE ROSE 2 de Harald Zwart LE PREMIER CERCLE de Laurent Tuel SOURIS CITY de Dan Bowers et Sam Fell (film d’animation) 2006 DA VINCI CODE de Ron Howard FLYBOYS de Tony Bill LA PANTHÈRE ROSE de Shawn Levy 2005 L’EMPIRE DES LOUPS de Chris Nahon LE TIGRE ET LA NEIGE de Roberto Benigni 2004 L’ENQUÊTE CORSE d’Alain Berberian HOTEL RWANDA de Terry George LES RIVIÈRES POURPRES 2 : LES ANGES DE L’APOCALYPSE de Olivier Dahan 2003 TAIS-TOI ! de Francis Veber 2002 DÉCALAGE HORAIRE de Danièle Thompson ROLLERBALL de John Mc Tiernan 2001 ATLANDIDE, L’EMPIRE PERDU de Kirk Wise (film d’animation) LES VISITEURS EN AMÉRIQUE de Jean-Marie Poiré WASABI de Gérard Krawczyk 2000 LES RIVIÈRES POURPRES de Mathieu Kassovitz 1997 GODZILLA de Roland Emmerich RONIN de John Frankenheimer LES SOEURS SOLEIL de Jeannot Szwarc 1996 UN AMOUR DE SORCIÈRE de René Manzor LES VISITEURS II – LES COULOIRS DU TEMPS de Jean-Marie Poiré POUR L’AMOUR DE ROSEANNA de Paul Weiland 1995 LE JAGUAR de Francis Veber MISSION : IMPOSSIBLE de Brian de Palma PORCO ROSSO de Hayao Mitazaki (film d’animation) 1994 PAR-DELÀ LES NUAGES de Michelangelo Antonioni 1994 FRENCH KISS de Lawrence Kasdan LÉON de Luc Besson LE ROI LION de Roger Allers (film d’animation) LES TRUFFES de Bernard Nauer 1993 LES AVENTURIERS D’EDEN RIVER de Don Kent (TV) LA VIS de Didier Flamand (c.m.) 1992 LES VISITEURS de Jean-Marie Poiré 1991 LOULOU GRAFFITI de Christian Le Jalé 1990 L’HOMME AU MASQUE D’OR d’Éric Duret L’OPÉRATION CORNEED BEEF de Jean-Marie Poiré 1989 NIKITA de Luc Besson 1987 LE GRAND BLEU de Luc Besson 1986 I LOVE YOU de Marco Ferreri ZONE ROUGE de Robert Enrico 1985 STRICTEMENT PERSONNEL de Pierre Jolivet SUBWAY de Luc Besson 1984 NOTRE HISTOIRE de Bertrand Blier 1983 BALLADE SANGLANTE de Sylvain Madigan (c.m.) QUELQUES HOMMES DE BONNE VOLONTÉ de François Villiers (TV) 1982 LE DERNIER COMBAT de Luc Besson SIGNES EXTÉRIEURS DE RICHESSE de Jacques Monet 1981 L’AVANT DERNIER de Luc Besson (c.m.) LES BIDASSES AUX GRANDES MANOEUVRES de Raphaël Delpard LA PASSANTE DU SANS-SOUCI de Jacques Rouffio 1980 ON N’EST PAS DES ANGES, ELLES NON PLUS de Michel Lang L’AÉROPOSTALE, COURRIER DU CIEL de Gilles Grangier (TV) VOULEZ-VOUS UN BÉBÉ NOBEL ? de Robert Pouret 1979 CLAIR DE FEMME de Costa-Gavras 1978 L’HYPOTHÈSE DU TABLEAU VOLÉ de Raoul Ruiz   Gaspard Ulliel

   

 2009 LA LOI DU PLUS FORT de Alain Tasma THE VINTNER’S LUCK de Niki Caro. 2008 LE PREMIER CERCLE de Laurent Tuel BARRAGE CONTRE LE PACIFIQUE de Rithy Panh LA TROISIÈME PARTIE DU MONDE de Éric Forestier 2006 HANNIBAL LECTER : LES ORIGINES DU MAL de Peter Webber JACQUOU LE CROQUANT de Laurent Boutonnat PARIS JE T’AIME (4ème arrondissement) de Gus Van Sant 2005 LA MAISON DE NINA de Richard Dembo 2004 UN LONG DIMANCHE DE FIANÇAILLES de Jean-Pierre Jeunet 2004 LE DERNIER JOUR de Rodolphe Marconi NAVARRO de Patrick Jalin (série TV) THE TULSE LUPER SUITCASES de Peter Greenaway 2003 LES ÉGARES de André Téchiné 2002 EMBRASSEZ QUI VOUS VOUDREZ de Michel Blanc 2000 JULIEN L’APPRENTI de Jacques Otmezguine (TV) LE PACTE DES LOUPS de Christophe Gans 1998 ALIAS de Marina De Van (c.m.) 1997 UNE FEMME EN BLANC de Aline Issermann (série TV)  

  Vahina Giocante    

 2008 BELLAMY de Claude Chabrol LA BLONDE AUX SEINS NUS de Manuel Pradal LE PREMIER CERCLE de Laurent Tuel SECRET DÉFENSE de Philippe HAÏM 2007 99 FRANCS de Jan Kounen 2006 RIVIERA de Anne Villacèque U de Serge Élissade (film d’animation) 2005 HISTOIRES : MARIE-ANTOINETTE de Alain Brunard (TV) 2005 LILA DIT ÇA de Ziad Doueiri 2004 LE CADEAU D'ÉLÉNA de Frédéric Graziani NUIT NOIRE - 17 OCTOBRE 1961 de Alain Tasma (TV) 2003 MAIGRET : ÉPISODE “LES PETITS COCHONS SANS QUEUE” de Charles Némès (série TV) 2003 BLUEBERRY de Jan Kounen 2002 LES INTERMITTENCES DU COEUR de Fabio Carpi 2001 VIVANTE de Sandrine Ray 2000 BELLA CIAO de Stéphane Giusti 1999 PAS DE SCANDALE de Benoît Jacquot LE LIBERTIN de Gabriel Aghion LES FANTÔMES DE LOUBA de Martine Dugowson 1997 VOLEUR DE VIE de Yves Angelo 1996 MARIE BAIE DES ANGES de Manuel Pradal   Sami Bouajila    2008 CARRÉ BLANC de Jean-Baptiste Leonetti LONDON RIVER de Rachid Bouchareb (TV) LE PREMIER CERCLE de Laurent Tuel LA SAINTE VICTOIRE de François Favrat LE SIFFLEUR de Philippe Lefebvre 2007 24 MESURES de Jalil Lespert LE DERNIER GANG de Ariel Zeitoun LES TÉMOINS de André Téchiné 2006 LE CONCILE DE PIERRE de Guillaume Nicloux INDIGÈNES de Rachid Bouchareb 2005 ZAINA CAVALIÈRE DE L’ATLAS de Bourlem Guerdjou AVANT L’OUBLI de Augustin Burger 2003 EN JOUANT DANS LA COMPAGNIE DES HOMMES de Arnaud Desplechin PAS SI GRAVE de Bernard Rapp VIVRE ME TUE de Jean-Pierre Sinapi 2002 EMBRASSEZ QUI VOUS VOUDREZ de Michel Blanc LA LÉGENDE DE PARVA de Jean Cubaud (dessin animé) NID DE GUÊPES de Florent Emilio Siri 2001 CHANGE-MOI MA VIE de Liria Begeja LIBRE À TOUT PRIX de Marion Vermillard (TV) LA RÉPÉTITION de Catherine Corsini 2000 COMBATS DE FEMME – LIBRE À TOUT PRIX de Marie Vermillard (TV) LA FAUTE À VOLTAIRE de Abdellatif Kechiche FAITES COMME SI JE N’ÉTAIS PAS LÀ de Olivier Jahan DRÔLE DE FELIX de Olivier Ducastel et Jacques Martineau. DOUCE FRANCE de David Bouttin NOUVELLES DE LA TOUR L de Samuel Benchetrit (c.m.) 1999 INSÉPARABLES de Michel Couvelard NOS VIES HEUREUSES de Jacques Maillot LA PEUR DU VIDE de Christian Sonderegger (c.m.) 1998 COUVRE-FEU de Edward Zwick 1997 ARTEMISIA de Agnès Merlet LE DÉMÉNAGEMENT de Olivier Doran NÉ QUELQUE PART de Malik Chibane UNE VOIX EN OR de Patrick Volson (TV) 1996 ANNA OZ de Éric Rochant 1995 BYE-BYE de Karim Dridi 1993 NAVARO de Jean Sagols (série TV) LES SILENCES DU PALAIS de MoufidaTlatli THE HOUR OF THE PIG de Leslie Megahey 1992 LES HISTOIRES D’AMOUR FINISSENT MAL EN GÉNÉRAL de Anne Fontaine 1991 LA THUNE de Philippe Galland  Liste artistique  MILO - Jean RENO ANTON - Gaspard ULLIEL ELODIE - Vahina GIOCANTE SAUNIER - Sami BOUAJILA RUDY - Isaac SHARRY EMILIO - Alberto GIMIGNANI MISSAK - Eric CHALLIER DANIEL - Julian NEGULESCO FRANK - Franco TREVISI BEDIK - Albert GOLDBERG LEVON - Mirza HALILOVIC ARAM - Vladimir MILIVOJEVIC MIRELLI - Nicolas BRIDET COUTARD - Tony GAULTIER CAZES - Jean-Paul ZENNACKER HALAMI - Philippe LEROY BEAULIEU et Gisèle CASADESUS dans le rôle de Madame MALAKIAN  Liste technique

  RÉALISATION ET IDÉE ORIGINALE Laurent TUEL SCÉNARIO Laurent TUEL Simon MOUTAÏROU Laurent TURNER PRODUCTION Alain TERZIAN Christine GOZLAN IMAGE Laurent MACHUEL (A.F.C.) MONTAGE Marion MONESTIER MUSIQUE Alain KREMSKI SON Olivier LEVACON - Cyril HOLTZ DÉCORS Carlos CONTI COSTUMES Pascaline CHAVANNE CASTING Gérard MOULEVRIER (A.R.D.A.) 1ER ASSISTANT RÉALISATEUR Jérôme ZADJERMANN RÉGISSEUR GÉNÉRAL Stephan GUILLEMET (A.F.R.) PRODUCTEUR EXÉCUTIF François-Xavier DECRAENE UNE PRODUCTION ALTER FILMS -THELMA FILMS TF1 INTERNATIONAL TF1 FILMS PRODUCTION MEDUSA FILM S.p.A AVEC LA PARTICIPATION DE CANAL + le CENTRE NATIONAL DE LA CINÉMATOGRAPHIE EN ASSOCIATION AVEC Sofica Valor 7 et LA BANQUE POSTALE IMAGE AVEC LE SOUTIEN DE la Région Provence Alpes Côte d'Azur et du Département des Alpes Maritimes ET EN PARTENARIAT AVEC le CNC

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